♪♪♪ Aiiiiiie Confiannnnnnce ♪♪♪

Au passage, au sujet de la dernière note, je conseille vivement la lecture de cet article paru sur rue 89  qui pose plutôt bien le problème des filles qui ont choisi des filières dites "prestigieuses"; même si je le trouve encore bien optimiste.
(Ouais, je sais, ça gavera les trois quarts d'entre vous mais bon, on peut pas non plus faire tout le temps du kikoo-lol.)

Comments

[Tomoyo]

Lyrus => Effectivement, le deuxième article que tu proposes me paraît être un gros amas d'idioties. Cette personne prétend dénoncer des injustices faites aux femmes mais ne fait qu'alimenter bien des préjugés sur les hackers, ça décrédibilise totalement son discours. Et pour le reste, ben je suis plutôt d'accord avec toi.
S. la Sardine => Euh bah merci bien !

[s. la sardine]

waha j'adore ! et ton blog c'est une explosion de fraicheur ! j'adooore ![sourit]
tu m'aurais pas hypnotisé par hasard Ô_Ô

[Lyrus]

C'est clair que ce serais chouette!

Pour les économistes mâles qui ont droit a la parole, je suppose que l'age y est pour quelque chose. A moins de 50, pas de crédit. (et donc la génération suivante verra peu être la parité)

J'ai lu l'article, de plus en plus de femme font des études j'en suis très heureux, mais pourquoi j'en ai pas moi? rapide recherche et je tombe sur ça:
http://www.isabelle-collet.net/Isabelle_Collet/rapports_files/Synthe%CC%80se.pdf
(les SSII sont des sous-traitants informatiques qui louent des geeks)

Intéressant mais ça ne parle que des problèmes après les études, mes cousines sont informaticiennes et malgré leurs compétences dont je ne doute pas, elle ne revoient pas une image très professionnel (dans ce domaine ne pas suivre le mouvement est fatal)

Il y en a un qui donne des pistes:
http://www.cairn.info/load_pdf.php?ID_ARTICLE=CDLE_017_0042

Et ben c'est un tissu de conneries (le fantasme du hacker). Cette article a été bâclé par un profane! je relève seulement les graphiques des populations.

Tout ça pour dire que le plafond de verre n'est pas encore le premier problème partout. (même si c'est évidement un vrai problème)